BovINE magazines published in nine national languages Project news plus...
Read MoreBovINE réunit un consortium de 18 organisations issues de 10 pays européens. Ce consortium diversifié est composé d’organisations de recherche, d’associations d’agriculteurs et de races, d’organisations à but non lucratif et de PME. Chaque partenaire a un rôle spécifique au sein du projet. Sur cette page, vous trouverez des informations directement liées à votre pays.
BovINE a publié un magazine sur l’élevage bovin et la durabilité en France. Découvrez l’état de l’élevage bovin et les solutions pratiques mises en œuvre par le projet BovINE au cours des trois années du projet.
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Le 13 octobre 2022, a eu lieu à Paris, en présentiel, la 3ème rencontre annuelle française d’échange avec les partenaires, pour le projet BovINE.
Lors de cette journée, a été présentée plus d’une cinquantaine de bonnes pratiques et d’innovations remontées par les 8 autres pays participants au projet BovINE sur les thématiques annuelles liées à l’économie, la santé animale, l’environnement et la qualité des viandes. Une dizaine d’éleveurs des divers régions françaises était présente. Bien que la participation fût faible, il y a eu de très nombreux échanges constructifs !
Un constat essentiel a été fait lors de cette réunion, constat commun à toutes les thématiques : les divers pays européens travaillent sur les mêmes questions, et construisent bien souvent les mêmes leviers, outils, ou encore référentiels pour y répondre…mais chaque pays de son côté. Les participants à la journée, ont alors jugé essentiel l’enjeu d’harmoniser ces travaux réalisés dans chaque pays. En effet, chaque pays construit son propre diagnostic de bien-être animal, son propre diagnostic Carbone ou encore sa propre grille de persillé, sur des références bien souvent similaires ! Pour avoir des travaux reconnus à l’échelle européenne mais aussi mondiale, l’harmonisation est la clef de réussite sur l’avenir, au vu des enjeux sociétaux grandissants sur le secteur de la viande bovine.
Marie Penn a obtenu son diplôme d’ingénieur agronome en 2012 (spécialité gestion durable du végétalà en 2012 à Agro-campus Ouest (Angers, France).
Pendant 5 ans, elle a travaillé pour une compagnie d’assurance, Groupama. D’abord, au sein d’une des 9 caisses régionales, basé sur le territoire des Pays de la Loire et de la Bretagne.
Elle avait la charge de l’assurance des serres, des bâtiments agricoles, de la mortalité des animaux…. Ensuite, elle a travaillé à la tête du groupe nommé Groupama Mutuelles Assurances, basé à Paris. Elle était en charge de la construction d’un nouvel outil d’assurance climatique, à destination des Prairies, en cas d’aléas climatiques (sécheresse, excès ou déficit de température), ainsi que de l’assurance climatique en céréales et viticultures. Elle travaille comme chargée de mission à la FNB depuis l’été 2017, sur Paris. Elle est l’interlocutrice au sein de l’interprofession (Interbev), et de ses acteurs (abatteurs, distributeurs, bouchers…).
Depuis des décennies, un débat est en cours sur une répartition plus équitable de la valeur entre les différents acteurs des chaînes de production alimentaire. Le pouvoir de négociation croissant de la grande distribution est toujours mis en avant comme l’une des causes de la répartition inéquitable de la valeur. Les politiques européennes et nationales tentent d’intervenir afin d’établir des conditions de marché équitables pour les acteurs économiques et de réduire l’excès de pouvoir de la distribution. Des organisations de producteurs ont été créées pour accroître le pouvoir de négociation des agriculteurs par rapport à celui des abattoirs et des distributeurs. Les stratégies de vente directe peuvent être considérées comme une alternative pour augmenter la valeur ajoutée pour les éleveurs. À première vue, la vente directe semble très attrayante, mais cette stratégie nécessite des programmes ciblés pour réussir.
Depuis 2021, les prix des matières premières pour l’alimentation animale ont considérablement augmenté. Depuis 2020, le prix du soja s’est envolé en raison de l’augmentation de la demande mondiale, principalement déclenchée par les importations de la Chine. Ce pays est en train de reconstituer son cheptel porcin après les conséquences dévastatrices de la peste porcine africaine. Les prix des céréales ont augmenté à un rythme plus faible, mais ont, eux aussi, atteint des sommets. Le prix du maïs est notamment passé de 220 €/tonne en janvier 2021 à 260€/tonne en janvier 2022.
Cette tendance pose la question pour les exploitations de bovins viande de rechercher des aliments alternatifs afin de réduire leur vulnérabilité économique. La production d’aliments à la ferme peut être une alternative intéressante, car elle permet d’augmenter l’autonomie alimentaire des fermes. Différentes options s’offrent aux agriculteurs ; elles sont dépendantes du contexte de l’exploitation et de la situation de départ. Les exploitations bovines dont l’alimentation est à base d’herbe doivent rechercher des alternatives différentes de celles dont l’alimentation repose sur les cultures. Des aliments alternatifs peuvent également être trouvés sur le marché, mais leur valeur énergétique et protéîque doit être compatible avec les exigences de croissance des bovins. De plus, les aliments alternatifs ne doivent pas avoir une incidence négative sur la qualité finale de la viande.
L’introduction de maladies lors de l’achat de veaux à l’extérieur de l’exploitation peut avoir des conséquences sanitaires majeures et impacter négativement le bien-être des animaux.
Le focus sera mis sur les outils existants pour limiter l’introduction de maladies dans les exploitations. Les programmes de vaccination seront inclus dans cette analyse.
Les différents pays ont des réglementations différentes concernant la formation des éleveurs, des manipulateurs ou des transporteurs d’animaux en matière de bien-être animal. Ce sujet ne s’intéresse pas aux multiples réglementations mais aux principes généraux de la manipulation des bovins viande avec pour objectif de réduire le stress et d’améliorer le bien-être des animaux. Pendant la pesée et le transport, les bovins sont particulièrement exposés au risque de stress aigu et le savoir-faire d’un manipulateur expérimenté et/ou l’utilisation d’un équipement adapté sont des élements importants.
2. Nous recherchons des concepts et/ou des programmes de formation sur la manipulation sans stress des bovins viande, s’intéressant notamment à la pesée et au transport des animaux vivants , ainsi que des équipements et des installations innovantes qui améliorent le bien-être des animaux, préviennent les blessures et réduisent le stress des animaux pendant leur manipulation.
Il s’agit de s’intéresser aux instruments ou méthodes pouvant être utilisés à la ferme ou sur la chaîne d’abattage pour mesurer ou prédire la qualité de la carcasse (conformation et état d’engraissement, composition de la carcasse, rendement de carcasse et de découpe , etc.) et de la viande (couleur, pH, surface de la côte, persillage, épaisseur du gras, tendreté, sécurité, etc.) des bovins viande.
Sur ce sujet, nous avons défini comme “outil”, les instruments ou méthodes pouvant être utilisés pour mesurer ou prédire les caractéristiques de qualité des carcasses et de la viande à la ferme ou à l’abattoir. A la ferme, les évaluations réalisées aideront à la prise de décision en matière de gestion du troupeau, comme, par exemple, définir le moment de l’abattage. A l’abattoir, elles permettraient de classer les carcasses en fonction de leur valeur potentielle et, entre autres, d’établir des systèmes de paiement plus transparents, de garantir l’homogénéité des produits. Certains outils pourraient cibler les attributs de qualité de la viande, ce qui permettrai de classer les carcasses et les morceaux en fonction des attentes des consommateurs. Les données collectées à la ferme ou à l’abattoir pourront aussi servir à l’amélioration génétique des animaux.
Nous proposons pour ce thème, la collecte d’innovations permettant d’évaluer les variables suivantes :
Compléments du Network Manager :
Il s’agit de s’intéresser aux facteurs génétiques, nutritionnels et de gestion des troupeaux permettant d’améliorer la qualité de la viande tel que le persillé, la tendreté et la couleur
La teneur en graisse intramusculaire, perçue visuellement comme des mouchetures blanches ou des stries à l’intérieur des muscles, détermine le niveau de persillé de la viande. Celui-ci est positivement associé à un morceau de viande tendre, savoureux et juteux, ce dont les consommateurs sont conscients (Kang et al. 2022, Meat Science 186, 108730). Le niveau de persillé peut être modifié par des pratiques agricoles afin d’accroître la valeur ajoutée de la viande et la satisfaction des consommateurs; cependant, il convient de tenir compte des effets potentiellement négatifs sur la productivité.
Les innovations que l’agriculteur peut adopter pour augmenter le niveau de persillé de la viande de bœuf peuvent être liées à un ou plusieurs des facteurs suivants (récemment examinés par Nguyen et al. 2021 -Veterinary and Animal Science, 14, 100219):
* Les facteurs génétiques : certaines races produisant une viande plus persillée sont utilisées par certains éleveurs. L’accumulation de graisse intramusculaire est régulée par divers gènes associés. L’héritabilité de ce caractère est modérée à élevée, il peut donc être amélioré par la sélection génétique.
* Les facteurs nutritionnels : le rapport concentré/fourrage grossier, la supplémentation ou la restriction en vitamines (A, C et D), et l’alimentation pendant la gestation, sont des facteurs qui ont un impact important sur la formation et le développement de la graisse intramusculaire.
* Les facteurs de gestion : la castration, l’âge et le poids à l’abattage sont des exemples de facteurs de gestion qui influent sur le niveau de persillé de la viande.
La couleur de la viande influence les décisions d’achat, mais la couleur préférée (rouge clair, rouge intense, etc.) peut varier en fonction des différents marchés ou types de consommateurs. La tendreté est liée à la satisfaction de la consommation et affecte les décisions de réachat. Au niveau de l’exploitation, ces deux attributs peuvent être modifiés par la génétique, l’âge à l’abattage, les systèmes de production, l’alimentation…
Compléments du Network Manager :
Les agriculteurs sont de plus en plus conscients de l’impact de l’élevage sur l’environnement. Les pouvoirs publics et les consommateurs leur demandent d’évoluer vers des élevages plus durables. Le “Green Deal” européen et la stratégie “de la ferme à la fourchette” ont défini des objectifs stricts en matière de réchauffement climatique et de pollution environnementale d’origine agricole. Ils décrivent, par le biais de la politique agricole commune (PAC), la manière dont les initiatives doivent être récompensées. Il existe de grandes différences entre les exploitations et les efforts qu’elles déploient. Les agriculteurs progressistes ont déjà mis en œuvre de bonnes pratiques dans leur exploitation et sont ouverts à l’innovation. D’autres sont plus hésitants car ils se posent des questions sur les effets bénéfiques, les coûts éventuels ou sur les impacts potentiels sur la rentabilité économique de leur exploitation. Pour les agriculteurs, mais aussi pour les consommateurs et les décideurs politiques, il est important de quantifier l’impact environnemental d’une exploitation et des efforts faits ou envisagés en matière de durabilité.
La durabilité environnementale comprend évidemment l’empreinte carbone d’une exploitation (empreinte entérique, empreinte carbone des aliments pour animaux), mais est plus large que cela. Les efforts en faveur de la biodiversité, l’amélioration de la qualité des sols et de la qualité de l’eau, la consommation en eau et en électricité sont également des aspects importants de la durabilité écologique. Grâce à la séquestration du carbone et à la gestion durable des pâturages permanents, l’empreinte carbone des troupeaux peut être en partie compensée et la gestion du fumier permet de boucler le cycle des nutriments dans une exploitation, permettant ainsi la réduction des apports et la limitation des pertes.
Au cours de l’année à venir, nous allons recenser, évaluer et comparer les outils existants pour évaluer la durabilité environnementale des exploitations bovines. Un exemple est l’outil français CAP2ER, qui a été déployé dans plusieurs régions l’année dernière. Une fois que nous aurons une vue d’ensemble des outils existants, nous les classerons en fonction des indicateurs utilisés. Nous appuyerons sur la littérature scientifique pour recenser et évaluer les modèles et les indicateurs utilisés dans les différents outils. En outre, nous ne nous contenterons pas d’évaluer les outils, nous nous intéresserons aussi à la façon dont peuvent contribuer à améliorer la durabilité environnementale des exploitations.
La biodiversité est, en résumé, la diversité des formes de vie dans une zone donnée. Elle comprend non seulement toutes les espèces de plantes et d’animaux au sein d’un même écosystème, mais aussi les micro-organismes du sol et les interactions entre toutes ces formes de vie. La biodiversité est confrontée à de nombreuses pressions liées à l’activité de l’homme, parmi celle-ci, on peut citer les systèmes agricoles intensifs et les fortes pressions exercées sur les nutriments. La déforestation entraîne l’érosion des sols, l’épandage intensif de fumier et l’émission de protoxyde d’azote provoquent l’eutrophisation et l’acidification des sols et des eaux, la monoculture rend les cultures plus vulnérables aux parasites et aux maladies et réduit les populations d’insectes et la vie présente dans le sol.
La biodiversité a un effet modérateur sur les influences qui mettent à mal une zone, comme les parasites, la pollution et la sécheresse. Il est donc important de revenir à des systèmes agricoles plus diversifiés. Les exploitations agricoles conventionnelles sont organisées sur la base de monocultures et d’un mode de culture très souvent intensif; il est donc important de convaincre que des systèmes agricoles plus diversifiés peuvent apporter des avantages en terme de productivité. Parallèlement, nous constatons une plus grande coopération entre les associations de protection de la nature et les agriculteurs; les incitations à s’engager dans une agriculture biodiversifiée sont plus nombreuses, par le biais de la stratégie européenne en faveur de la biodiversité (qui fait partie du “Green deal” européen) ou des autorités locales.
Au cours de l’année à venir, nous recueillerons les innovations et les bonnes pratiques susceptibles d’aider les agriculteurs des différentes régions européennes situés dans des zones pédoclimatiques variés à prendre des mesures en faveur de la biodiversité, à l’échelle des parcelles, des exploitations mais aussi des régions. Nous ne nous concentrerons pas seulement sur les mesures relatives aux cultures et à la gestion des prairies, mais aussi aux mesures favirisant la biodiversité des sols et la qualité de l’eau. Comme il est important que les agriculteurs puissent évaluer l’effet de leurs pratiques agricoles sur les indicateurs de biodiversité d’une part et sur leur rendement économique d’autre part, ce volet là sera aussi considéré. L’identification d’exemples réussis permettront de sensibiliser et d’encourager d’autres agriculteurs à suivre cette voie.
Le BovINE Knowledge Hub (BKH) est à la disposition de toutes les personnes impliquées dans l’élevage bovin et les défis stratégiques et pratiques auxquels le secteur est confronté. Les éleveurs de bovins, les organisations agricoles, les conseillers, les chercheurs et les innovateurs peuvent accéder aux connaissances, aux informations pratiques et aux innovations fondées sur des données probantes sur les thèmes connexes de la résilience socio-économique, de la santé et du bien-être des animaux, de l’efficacité et de la qualité de la production, et de la durabilité environnementale.
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BovINE (Réseau d’Innovation Européen) a été établi dans 10 Etats Membres EU pour se focaliser spécialement sur les besoins des 255 000 éleveurs qui constituent la filière bovins viande en Europe. BoVINE s’attaque aux défis de la durabilité, identifiés comme urgents par les éleveurs de bovins viande eux-mêmes, en rassemblant les éleveurs, les organisations d’éleveurs, les conseillers, les chercheurs et les autres parties prenantes, pour développer des innovations pratiques qui peuvent être mises en œuvre dans les élevages européens.
Coordonné par Teagasc (IE), BoVINE est construit autour d’une approche multi-acteurs, qui requiert une coopération renforcée entre chercheurs, conseillers, éleveurs et d’autres acteurs/contributeurs pertinents de l’industrie de la viande pour faciliter au mieux les échanges de connaissances et l’acceptabilité des solutions co-construites.
BoVINE s’appuie sur le réservoir de connaissances existant à l’échelle des élevages autour de quatre thèmes clés : La résilience socio-économique, La santé et le bien-être animal, La productivité et la qualité, et La durabilité environnementale.
A partir de ces thèmes, BoVINE va aussi identifier les résultats de la recherche qui n’ont pas encore été appliqués à grande échelle en élevages, et examiner leur faisabilité pratique par des démonstrations dans de multiples fermes de bovins viande en Europe. Par la conduite d’une coopération efficace entre éleveurs de bovins viande et chercheurs, BoVINE va former un écosystème transnational pour stimuler l’échange de connaissances à un niveau international, et améliorer ainsi la viabilité économique et la durabilité du secteur viande en Europe.
Les objectifs globaux du projet sont de stimuler et d’encourager l’échange de connaissances et l’intégration de la recherche et des bonnes pratiques dans des innovations appliquées, aux niveaux régional, national et international, et entre les acteurs pertinents du secteur de la viande bovine en Europe.
Les objectifs spécifiques sont :
Mai 2021
Les besoins fondamentaux des éleveurs de bovins viande sont à l’origine de la sélection des sujets prioritaires pour 2021 du réseau européen BovINE (financé par l’UE) FR-210429-BOV-PR03-Final-french translation
Les éleveurs de bovins sont des agents du changement désireux de favoriser la durabilité du secteur, confirme BovINE 221209-BOV-PR08-French version
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Read MoreBovINE a créé des cartes de réseau illustrant les acteurs impliqués dans le réseau de connaissances et d’innovation de la viande bovine dans chacun des 9 pays partenaires. Cliquez sur la carte pour visualiser la carte du réseau pour un pays particulier.
Idele, institut français de recherche appliquée et de développement dans le domaine de l’élevage des ruminants. Dans BovINE, l’Idele est engagé dans les thèmes « résilience socio-économique » (WP3), « santé et le bien-être animal » (WP4), « productivité et qualité » (WP5) et « durabilité environnementale » (WP6) pour participer à la collecte et à l’expertise des bonnes pratiques et pistes de recherche innovantes, et favoriser leur diffusion vers les publics cible. + participer au recrutement des fermes démo
La Fédération Nationale Bovine est un syndicat professionnel agricole qui a pour objet l’organisation, la représentation, et la défense des intérêts communs des producteurs de bovins (viande bovine) au niveau français et européen. Dans BovINE, la FNB est engagées dans les thématiques : « résilience socio-économique » (WP3), « santé et le bien-être animal » (WP4), « productivité et qualité » (WP5) et « durabilité environnementale » (WP6). Son rôle est d’assurer la collecte des bonnes pratiques auprès des éleveurs ainsi que leur diffusion, tenant compte des spécificités régionales. Elle sera aussi largement impliquée dans l’animation du réseau national.
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FAO: Maeve Henchion
The BovINE Project
Teagasc Ashtown Food Research Centre
Dublin 15
D15 KN3K
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renaissance programme | Project No: 862590 under call H2020-RUR-2019-15